.

Judex Franju
Messages
-
IA & Hermann Rorschach -
IA & Hermann RorschachOui de tout ça , voir les liens…
-
XPo au Dernier cri - Affiches de l' Embobineuse & DATABravo Melon !
-
IA & Hermann RorschachLe titre de l’ouvrage annonce d’emblée la position de l’expert. Luc Julia conteste l’appellation communément admise de l’intelligence artificielle, attribuée au mathématicien John McCarthy, qui l’a utilisée pour la première fois au cours de la conférence de Dartmouth (1956) sur la théorie des automates. « Tout est parti d’un immense malentendu », affirme M. Julia. Les scientifiques « se sont mis à penser qu’ils pouvaient recréer dans des machines les mécanismes du cerveau humain ». Luc Julia dénonce « une vaste fumisterie ».
« Les résultats du groupe de travail ont été bien loin des ambitions affichées, [...] ils n’ont en rien déterminé les étapes pour simuler l’intelligence », estime-t-il. D’ailleurs, il préfère l’expression « intelligence augmentée ».
-
IA & Hermann Rorschach -
IA & Hermann RorschachArticle écrit en partie par la chercheuse du doc au dessus MEREDITH WHITTAKER
-
IA & Hermann Rorschach -
Du ciné contemporain >Bon c’est essentiellement pour faire rire Dave 😉
-
Du ciné contemporain >Le cinéma est mort les mecs laissez tomber !
-
IA & Hermann RorschachSilicon Fucking Valley (3/6) - La loi du plus fort - Regarder le documentaire complet | ARTE
Pour révéler l'envers des GAFAM, Luc Julia part à la rencontre de Jean-Louis Gassée, ex-patron d’Apple France. Et Adam Cheyer, co-créateur de Siri, revient sur son bras de fer avec Steve Jobs qui voulait racheter cette invention à tout prix, tandis que Meredith Whittaker, une ancienne de Google, nous raconte comment elle est devenue l'ennemie jurée des GAFAM.
ARTE (www.arte.tv)
-
IA & Hermann Rorschach -
IA & Hermann Rorschach« Qualifierez vous amazon meta et google de société de surveillance ?
Oui et Microsoft aussi »
Chercheuse en intelligence artificielle -
IA & Hermann RorschachGrosse fatigue sur le Net - Regarder le documentaire complet | ARTE
Un homme allongé dans son lit, éclairé par la lumière bleue de son téléphone portable, fait défiler des animaux domestiques mignons, des articles d'opinion indignés et des images obsédantes provenant des points chauds de la planète - et il ne ressent absolument rien. Avec humour, le réalisateur David Borenstein parcourt le monde pour enquêter sur la gravité de la situation.
ARTE (www.arte.tv)
Un homme allongé dans son lit, éclairé par la lumière bleue de son téléphone portable, fait défiler des animaux domestiques mignons, des articles d'opinion indignés et des images obsédantes provenant des points chauds de la planète - et il ne ressent absolument rien. Avec humour, le réalisateur David Borenstein parcourt le monde pour enquêter sur la gravité de la situation.
Être dominé par des émotions débridées – frustration, peur, excitation ou enthousiasme –, créées de toutes pièces et dont le mécanisme nous échappe, ou, pire encore, ne rien ressentir, sinon un engourdissement généralisé : qu’est-ce qui se passe en nous lorsque nous scrollons indéfiniment sur nos smartphones ? David Borenstein, habitué des prestigieux festivals documentaires, l’a remarqué chez lui et chez tant de gens de son entourage : le temps croissant passé sur Internet, les réseaux sociaux et autres applis semblent être en train de dérégler sérieusement nos états émotionnels. Ce phénomène serait-il le fruit d'intentions conscientes, et si oui, qui en sont les instigateurs et qu'ont-ils à gagner à manipuler ainsi nos affects ? Et quelle est l’authenticité de ces émotions artificiellement façonnées par écrans interposés ? Le journaliste part en quête de réponses en rencontrant en personne celles et ceux qui sont aux manettes.Aliénation
Un "troll" américain, qui s'amuse à titiller des inconnus pour susciter chez eux colère et frustration ; une influenceuse employée dans une "usine à streameuses" à Shanghai exhortée à créer chez ses abonnés un attachement proche de l'amour ; une chirurgienne macédonienne qui, pour mettre du beurre dans les épinards, produit à la chaîne des infox bientôt gobées par des internautes à l’autre bout de la planète… Dans cet essai documentaire aussi personnel qu’alarmant sur la morale qui anime une bonne partie du Web, le réalisateur nous interroge : de celui qui manipule et celui qui est manipulé, lequel est finalement le plus aliéné ?Documentaire vraiment intéressant
-
IA & Hermann Rorschach"L'estimation de la Banque mondiale, c'est entre 150 et 430 millions de personnes en 2023", ce sont les chiffres du nombre de data workers qui à travers le monde recueillent des milliards de données, les datas, afin d’alimenter l’intelligence artificielle (IA), rapporte Henri Poulain. Le réalisateur signe le documentaire inédit
Les Sacrifiés de l’IA
Très loin des beaux discours des Musk, Zuckerberg et autres qui nous disent en gros que l'intelligence artificielle (IA) va sauver le monde, lui, lève le voile sur ceux qu’il appelle les sacrifiés de l'IA. Des hommes, des femmes qui sont exploités par cette industrie parce que contrairement aux récits des géants de la Tech, ces systèmes n'ont rien d'autonome. Ce sont bien des humains qui les façonnent et c'est d'ailleurs ce que veulent nous faire oublier les patrons de l'IA. "Il y a un récit marketing explique-t-il, il s'agit de présenter l'IA comme le résultat d'un progrès technologique ultime et qui affranchirait l'humanité du travail, du dur labeur ".
…..et pour qu'elle fonctionne, pour qu'elle soit alimentée, elle a besoin de milliards de données, les datas, qui sont donc fournies par les travailleurs de la donnée dont le nombre est en constante augmentation. Ces travailleurs de l’ombre sont souvent pauvres, parfois en prison, notamment en Finlande. Il y en a en France, mais ils sont essentiellement basés en "Afrique, Asie du Sud-Est, Amérique du Sud, beaucoup Venezuela et en Indonésie"
Un travail mécanique sur ordinateur, comme on le découvre dans le documentaire avec un employé qui décrit son travail. Il annote des images et coche des options pour décrire au plus près ce qu’il voit sur cette image. Mais aussi une tâche traumatisante puisque un autre témoin anonyme, lui, a annoté des contenus dans lesquels des enfants étaient agressés, exploités, certains violés, "ça vous détruit, c'est de la torture mentale", souffle l’employé ému. "Il s'agit d'entraîner, là en l'occurrence ChatGPT, à imiter le comportement et l'écriture et la création humaine, explique Henri Poulain, il s'agit d'imiter, de faire comme l'humain, mais également à ne pas reproduire certains comportements".Le documentaire est à voir vraiment
-
.:.:.:.Oui le film est décevant par rapport à l’image de la tête œil et on voit pas assez Sabrina ah ah
-
IA & Hermann RorschachJacques Ellul
À mesure que grandit l'emprise des technologies sur nos vies, on redécouvre la nécessité d'avoir des philosophes « lanceurs d'alerte ». Aux grands enjeux les...
Salvator (editions-salvator.com)
-
IA & Hermann RorschachApparemment c’est une citation de Jacques Elllul
Comme je connaissais pas Dennis Gabor chez chercher sur kikipedia
Penseur technocritique
Gabor participe au mouvement technocritique, lui-même caractérisé par le déterminisme technologique. On lui doit notamment cette maxime, souvent mentionnée comme « loi de Gabor » :« C'est sa propre vitesse qui fait progresser la technique et ceci pour deux raisons : la première est qu'il faut entretenir les industries traditionnelles. La seconde n'est autre que la loi fondamentale de la société technicienne : "ce qui peut être fait techniquement le sera nécessairement2". C'est ainsi que le progrès applique de nouvelles techniques et crée de nouvelles industries sans chercher à savoir si elles sont ou non souhaitables3. »
On ne peut qu'être frappé par la similitude de cette "loi" avec l'énoncé de Jacques Ellul dans son ouvrage classique La technique ou l'enjeu du siècle :
« Parce que tout ce qui est technique, sans distinction de bien et de mal, s'utilise forcément quand on l'a en main. Telle est la loi majeure de notre époque4. »
-
IA & Hermann RorschachALAIN BELTRAN
« Ce ne sont pas les ingénieurs ou les historiens qu’il faut écouter, mais les poètes et les créateurs. Ils parviennent à se détacher suffisamment de la réalité pour penser l’avenir sans entrave. Certains écrivains ont senti avant tout le monde ce qui allait se passer. Les problèmes de pollution ou de surpopulation étaient déjà identifiés. »Alain Beltran est un historien de l'électricité. Il enseigne à l'université de Paris. Il intègre en 1986 le CNRS, et en 19881 en tant que de directeur de recherche à l'Institut d'histoire du temps présent.
C’est pour dire que tu as raison 😉
-
.:.:.:.Delirium : Sentences de mort (titre original : Le foto di Gioia) avec Sabrini cette image à la Résidents est super mais le film est un nanard erotique raté
-
.:.:.:.